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    Grâce à nos stagiaires, préparant un BPREA (Brevet de Responsable d'Entreprise Agricole), voici les résultats du diagnostique de durabilité pour l'exercice 2017... en attendant le prochain !

     

     

    Pour plus de détails vous pouvez consulter le guide de l'utilisateur.

    L'outil, en lui-même, se présente sous forme de tableurs, il est disponible sur le site du RAD (Réseau Agriculture Durable). C'est un outil complet, qui permet de "passer à la moulinette" de très nombreux indicateurs de mesure, le but étant de donner une photographie de la durabilité d'une ferme en tenant compte de ses caractéristiques économiques, mais aussi et surtout, ses caractéristiques sociales et environnementales/écologiques.

    Diagnostique de durabilité de la ferme

     

    Les résultats, sans nous surprendre tout à fait, nous réjouissent profondément. Ce que nous percevions intuitivement, grâce à des indicateurs les plus évidents comme : notre capacité à payer nos factures, notre bien-être, notre absence de stress, notre sentiment de plénitude, les liens que nous avons créés, se voient confirmés par un chiffrage.

    Une petite précision : le diagramme "Durabilité économique" fait apparaitre une note de 4 sur 5 pour la "sensibilité aux aides", en effet, nous bénéficions, comme tout contribuable dont l'activité agricole est certifiée AB, nous bénéficions d'un crédit d'impôt de 2500 €/an. C'est la seule aide dont nous bénéficions.

    Ce n'est pas tant ce chiffrage qui nous réjouit, mais ce qu'il offre comme possibilité pour objectiver nos pratiques et, par conséquent, devenir utiles aux personnes qui élaborent leur projet et ont encore des doutes.

    Oui, il y a une place pour des écosystèmes nourriciers, sobres, viables, durables, et résilients.

    Ce travail sera à disposition des personnes qui nous rendent visite à la recherche d'inspiration, nous leur disons :

    tenez bon et croyez dans vos rêves !

     

     

     

     


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    Cela fait 1 mois que la bâche de notre serre est posée. Ce sont 200 m2 qui sont désormais couverts, permettant la mise en culture des plantes craignant l'humidité bretonne et gourmandes en chaleur.

    Il aura fallu travailler le sol avec la campagnole pour mettre en place les cultures de ce nouvel outil de travail. Le sol était fortement compacté par les passages successifs en tracteur et camion, lors du montage de la structure.

     

    Un mois plus tard !

    Rang de tomates, au premier plan le shiso au feuillage pourpre

    Les plants de tomate, poivrons, aubergine et autres fruits, ont trouvés leurs place. Un paillage de vieux foin, puis la pose d'un goutte à goutte, complètent le dispositif. Nous consacrons environ 2 tiers de la surface aux cultures annuelles.

    Un mois plus tard !

    La première tomate !

    Sur le tiers de la surface restante, nous expérimentons des cultures vivaces : feijoa, myrtus ugni, pélargonium odorant, gingembre et, bientôt quelques agrumes rejoindront cette petite famille.

    Quatre réservoirs de 1000 litres sont installés pour collecter l'eau venue du toit de la grange. Cette eau permettra l'arrosage et servira à stocker l'énergie solaire durant les période froides.

    Un mois plus tard !

    Les réservoirs de 1000 litres

    C'est en septembre que les récoltes seront abondantes, au retour de leurs vacances, nos "mangeurs" vont se régaler !

     


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    Samedi prochain, 17 juin, nous avons prévu d’installer la bâche de notre future serre.
     
    Après des semaines de montage laborieux, c’est la dernière étape avant de repiquer la centaine de plants de tomates, poivrons, aubergines et autres plantes gourmandes en chaleur.
     

    Une bâche pour notre future serre !

     
    Avec les derniers jours très chauds et secs, tout ce petit monde végétal attend, bien assoiffé, de trouver une place dans la serre et continuer de croître pour porter de beaux et bons fruits !
     

    Une bâche pour notre future serre !

    Le montage de la structure le 24 avril avec notre ami James

     
    Le rendez-vous est fixé à 10h et nous devrons couvrir la serre de 2 bâches qui seront partiellement enterrées, en pied de serre, pour assurer le maintien de la structure.
    Nous devrons être au moins 6 personnes, car il nous faudra coordonner les actions de tension de la bâche et d’enterrement de celle-ci.
    C’est un chantier dont on connaît l’heure de démarrage, mais… pas celle de clôture. Nous comptons donc la journée pour être certains de finir l’ouvrage commencé le matin.
     
    Si vous pouvez et souhaitez participer à ce chantier, envoyez-nous un message pour que nous organisions le travail !
    Une paire de gants peut être utile, ainsi qu’une pelle (nous n’en possédons que 2).
     
    Nous prévoirons un casse-croûte à midi, aussi, dites-nous si vous serez parmi nous à midi.
     
     
    Merci d’avance pour votre soutien, qu’il soit physique ou moral !
     
     
     
     
     

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